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Journal de terrain d'un sociologue très commun
23 octobre 2011

entretien avec mon directeur de mémoire

Mardi dernier, j'ai eu avec mon directeur de recherche un cours entretien téléphonique a propos de ma "petite présentation du sujet" (exposé présédament)

 

Avant cela nous n'avions "discuté" que très informelment via email. Après quelque déboire pour se joindre, nous avons donc échangé autour de mon sujet durant un dixaine de minute Mardie soir au alantour de 19h.

Tout d'abors, il m'a notifier son intéré pour mon sujet qu'il a trouver "plutot bien construit", bien que bourré de fautes "d'orthographe" (une de mes grandes fragilité que je doit obligatoirement travailler). 

Néanmoins et a mon grand étonnement sa première vrai critique fut que je n'avais pas encore de titre. Chose frapante puisqu'à un moment où je n'ai encre ni terrain ni questionnement précis, il m'est demandé de trouvé un titre qui "collera au plus près de ma problématique". A l'heure ou j'écris, je n'ai toujours pas de titre puisque je n'ai toujours pas de questionnement précis, et pour cause.

En effet dans ma courtes présentation, je propose 2 problèmes assez distinctes :d'un coté je me demande : comment ces 3 grands groupes(éducatif, soignant et administratif) travaillent ensemble (ou pas) et comment s’organise le travail entre ces différents acteurs institutionnel  ?   et de l'autre, je m'intéroge sur Comment alors l’AMP se représente-elle aujourd’hui son travail, et comment gère-t-elle les contradictions propre à la définition trop floue de son activité ?

Ce double questionnement est la deuxième critique qui me fut apporté. Critique que je comprend et que j'acsepte, mais pour ma défence (défence qui fut comprise par mon directeur) n'ayant pas encore de terrain, j'ai préféré gardé un "point d'attaque" double pour parrer à toutes situations. Ainsi, si je suis acsépté en instituation je travaillerai sur la première problématique (relégant par la même l'autre question à une simple partie de mon exposé) et si j'essuie trop de refus, je me replirai sur des entretien avec des AMPs (que je contacterai indivuellement et hors de l'institution) pour traité la deuxième problématique (qui ne me demande pas visiblement d'avoir des observation "directe" du travail "en train de se faire")

 

En fin pour finir notre entretien, mon directeur c'est longuement attardé sur l'obligation de constitution d'un corpus théorique important et surtout solide autour de ma problématique. Lui ayant déja proposé quelque auteurs (mais qu'il ne sont pour la plus part pas de sociologues) il me mit en garde face à l'utilisation de travaux des "ingénieux sociaux" (les mémoire de DSTS notament). Plutot que de les utilisés comme étant une base de réfléxions, il ma plutot encoragé à les prendre comme des donnée secondaires d'enquête. J'en prend note pour plus tard.

Néanmoins il reste assez difficile pour l'instant de trouver des textes proprements sociologique sur le TRAVAIL au sein des institution de soin. Biensur les oeuvres de sociologies foisonnent sur "le soin" et sur le traitement social du "patient". Mais je n'ai pas trouver d'article spécifiquement sociologique sur le travail des acteurs dans l'institution. Bien entendu j'ai comme référence Goffman et son fameux Asile (que j'ai commencé à lire) mais il ne semble pas vraiment s'attardé sur le "travail" des équipes soignantes. Par contre j'y reprendrai bien volontié sa définition des "institutions totals"



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